Catégories
twitter
- Le flux RSS de ce compte twitter ne semble pas disponible pour le moment.
Suivre @CapuBiancu sur Twitter.
Pinterest
Unable to load Pinterest pins for 'ucapubiancu'
Là où la Corse s‘arrête
et l‘infini commence
Et que dansent les lumières !
Cette année encore, à l’occasion du festival Festi Lumi, à la nuit tombée et à un battement d’ailes de l’hôtel U Capu Biancu, Bonifacio se pare de mille feux, de mille couleurs, de mille récits. Pendant quelques jours, du 5 au 7 juillet, les murs des maisons, les façades des monuments, les pavés des ruelles s’habillent de lumière et résonnent de notes chatoyantes, musicales et artistiques.
“La lumière ne fait pas de bruit”*, dit-on. Pourtant elle parle. Elle raconte des histoires, déclame des poèmes, invente des contes et met en scène des légendes. Elle danse aussi. Silencieusement. Gracieusement. Elle frissonne, ondoie et se contorsionne parfois. Donnant vie aux parois et aux œuvres qu’elle illumine. Réveillant enfin Bonifacio de sa torpeur hivernale. La cité surgit alors au-dessus des flots méditerranéens et se hisse au sommet de falaises devenues presqu’imperceptibles.
Un chemin au cœur de l’histoire de Corse
Il est donc, en ces temps estivaux, un chemin scénographique nocturne ponctué d’étapes. D’escales poétiques où illuminations, œuvres et artistes envoûtent les voyageurs. Du Bastion de l’Étendard au quartier pisan, les projections monumentales invitent les passants à pénétrer la forteresse puis à cheminer, via des contes réalistes ou fantastiques, à travers l’histoire de Bonifacio ou de la Corse. Un essaimage de créations artistiques dessine un parcours au long duquel la lumière se joue des immobilités et incite à l’interaction. Des « lanternes magiques » diffusent une lumière douce et colorée, balancent leurs silhouettes graciles et aériennes, et guident les visiteurs à travers une ville auréolée de mystère. Musiciens, danseurs, conteurs et autres saltimbanques insulaires jalonnent ce parcours de spectacles vivants. Des spectacles nourris de lumière et qui révèlent une Corse culturelle, une Corse charnelle, une Corse vivante.
*Félix Leclerc
Suivre @CapuBiancu sur Twitter.
Ce site utilise des cookies pour vous assurer la meilleure expérience de navigation possible. En cliquant sur le bouton « Ok, tout accepter », vous acceptez l’utilisation des cookies. Pour en savoir plus, cliquez ici.